dimanche 13 mars 2011

Will driving west : Un hasard, une magnifique découverte


Dans mes bons vieux souvenirs, je ne crois pas que ma plume ait croisé le chemin de Will driving west sur les ondes internétisées de How I met the Poutine.

Will Driving west est un groupe de musique montréalais dont les influences sont tournées vers le folk. Guitare, contrebasse, piano, violon, percussions (tambourin et maracasses) et harmonica accompagnent au fil des morceaux le trio, deux filles (Camille et Andréa) et un garçon (David).

En fin d'année dernière, à l'occasion de mon anniversaire, Rick m'invite au restaurant InVivo où des groupes de musiques se produisent. Mais pas n'importe quel jour. Je dois décider d'une date en regardant le programme des évènements du restaurant. Or, en jetant un rapide coup d'oeil, aucun des groupes ne m'est connu. J'opte alors pour Will Driving west à cause de la simple catégorie "folk", inscrit sous le nom du groupe. Une guitare + une belle voix = résultat mathématiquement satisfaisant. Autrement dit, peu de chance pour que cela me déplaise. Un calcul qui a bien fonctionné le soir de notre rencontre avec ce groupe. J'étais sous le charme de la musique, prise par les sentiments quand ils ont fait une reprise de Damien Rice (choix qui illustre bien leurs influences profondément folk), sous le charme aussi des trois musiciens calmes, sympathiques et généreux par leurs sourires.

J'invite quiconque qui passe entre ces lignes à venir les écouter sur leur site internet ici --> http://willdrivingwest.bandcamp.com/

(Ma chanson préférée est "Throw it in the fire").

Aussi, pour ceux qui se laissent emporter par la mélodie de Will Driving West et qui comme moi ont envie de l'écouter ailleurs que sur l'ordinateur, il est possible d'acheter leur album dans quelques points de ventes à Montréal que voici :
- Oblique, 4333 rue Rivard
- Atom Heart, 364B, rue Sherbrooke Est
- Soundcentral, 4486 avenue coloniale

Séance d'expression sur toile : Un joyeux bordel coloré

mercredi 9 mars 2011

Petite pensée du jour : L'injustice de la migraine

Une migraine, c'est injuste. Elle s'invite chez moi, saoule mon esprit et trouble mes pensées. C'est presque comme une gueule de bois mais sans avoir eu le plaisir du verre porté aux lèvres et la sensation du nectar qui enrobe mon palet et enivre mes papilles.

dimanche 6 mars 2011

Impensable mais vrai : Le retour !

Jusqu'en 1986, le propriétaire d'une taverne/d'un bar pouvait refuser l'accès et le service à une femme au Québec. C'était légal !